En neurologie, cinq mesures ont été élaborées sous l’égide de la Société Suisse de Neurologie, en se référant aux recommandations de l’American Academy of Neurology (AAN) – avec quelques légères adaptations. L’objectif premier de ces mesures est de garantir la qualité des soins tout en renonçant aux actes inutiles.
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Plus est toujours mieux, le neuf est toujours supérieur à l’ancien et le plus cher est le meilleur, voilà une opinion qui ne date pas d’hier. En raison des progrès technologiques colossaux accomplis dans le domaine de la médecine au cours de ces dernières années, cette attitude est toutefois devenue problématique. L’accent doit être davantage porté sur la question de savoir si un traitement est au juste indiqué dans un cas individuel et s’il contribue sensiblement à la guérison ou à l’amélioration de la qualité de vie. Dans le même temps, les patients doivent avoir la certitude qu’ils reçoivent toujours le meilleur traitement qui puisse être pour eux, même si les méthodes les plus coûteuses et les plus récentes ne doivent pas toujours être employées à cette fin.
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Une initiative de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), de la Société Suisse des Pharmaciens pharmaSuisse et de la Fédération des médecins suisses FMH informe sur les consignes à respecter.
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«Le fait que non seulement les sociétés de discipline médicale mais aussi les hôpitaux prennent eux-mêmes leur responsabilité en main dans la lutte contre les traitements inutiles et le gaspillage dans le cadre des soins médicaux est à mon avis un signe important. Ce sont des experts, également dans ce domaine.» (Editorial de professeur Jean-Michel Gaspoz dans le magazine «Primary and Hospital Care» No. 14/2018)
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Comment résister aux pressions économiques qui pèsent sur les professionnels de la santé? Le corps médical a développé un nouveau serment d'Hippocrate qui engage les médecins à ne pas agir sous la contrainte financière. "Je n'accepte aucune prestation financière ni d'autres avantages, en particulier pour l'assignation et le transfert des patients; je ne conclus aucun contrat m'astreignant à des quantités définies de prestations." Voici l’un des dix points du "serment suisse", nouvelle version du serment d’Hippocrate initié par l’institut "Dialog Ethik" et porté par la FMCH (faîtière des chirurgiens suisses)..
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La société américaine de néphrologie a publié, en 2012, cinq recommandations dans le cadre de son initiative «Choosing Wisely». Interpellée par les deux piliers de la campagne – soins de valeur (c’est-à-dire avec un rapport coûts globaux / bénéfices favorables) et processus décisionnel partagé –, la Société Suisse de Néphrologie (SSN) les a repris en 2016, évalués au cours d’une retraite du Comité de la SSN, adaptés au contexte suisse et publiés. Deux ans plus tard, la liste est-elle toujours actuelle? La réponse est oui.
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À l’heure des discussions inlassables sur la maîtrise des coûts de la santé, les négociations difficiles y relatives, la mise en valeur de l’importance croissante du travail interprofessionnel et participatif, ainsi que des critères de qualité à définir, la SMVS et pharmavalais ont décidé de «passer à l’acte» pour amorcer un changement de culture commun, accompagnés scientifiquement par la HES-SO Valais-Wallis. Ce projet est soutenu officiellement par l’association «smarter medicine - Choosing wisely Switzerland».
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La Société américaine de radio-oncologie (ASTRO) avait publié, en 2013 et 2014, une liste top-5 des traitements radio-oncologiques spécifiques qui, tout en étant fréquemment réalisés, ne semblent toutefois ni efficaces ni adéquats dans les circonstances données. Ces discussions ont été suivies avec grand intérêt par la ­Société suisse de radio-oncologie (SRO) qui a ensuite chargé son comité de direction de l’évaluation et de l’élaboration d’une telle liste top-5 pour le domaine de la radio-oncologie en Suisse. La SRO souhaite amorcer une discussion sur le thème de la prise en charge radio-oncologique conforme aux besoins des patientes et des patients souffrant d’un cancer, non seulement au sein des sociétés de discipline, mais également au niveau multidisciplinaire et interprofessionnel, pour le bien des personnes concernées et de leurs proches, ainsi que pour les professionnels de la santé impliqués.
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«Smarter medecine»: Certains examens sont inutiles et délétères. Médecins et patients sont invités à les éviter.
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Le numéro actuel du magazine client LOGIN de l'assurance Groupe Mutuel présent smarter medicine: "La surmedicalisation sans valeur ajoutee pour le patient tauche tous les domaines specialises, que ce soit en milieu stationnaire ou ambulatoire. smarter medicine tente d'y repondre. Presentation d'un projet innovant."
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